Découvrez le témoignage vidéo de Romain, membre des formations PermacultureDesign, qui aménage en permaculture, avec sa famille, un hectare de terrain où il s’appuie notamment sur un système de baissières pour gérer l’eau et favoriser l’abondance naturelle et la biodiversité. Merci à Romain et sa famille pour ce partage inspirant ! 

Ce reportage a été tourné au printemps 2019. 

Le changement de vie de toute la famille avec la permaculture  

J’ai grandi à Paris, dans un HLM ; mais heureusement, j’avais la chance d’aller à la campagne le week-end pour commencer à m’éveiller à la nature. Je plantais des arbres à 6 – 7 ans, je bouturais des plantes… J’ai toujours été un jardinier dans l’âme. C’est peut-être lié aussi aux peurs de ma mère, qui ne voulait pas que je descende de l’appartement où nous vivions : j’enrageais d’être au sixième étage, de regarder le sol, les arbres et de ne pas pouvoir descendre. Ça m’a motivé déjà pour devenir jardinier, pour me rapprocher de la terre, et j’ai senti que cette vie – comme dirait Rabhi, cette vie hors sol – n’était pas logique quoi.

J’ai rencontré la permaculture en rencontrant le jardin. J’ai toujours été jardinier : j’ai passé mon BTA en 1998 – Brevet de Technicien Agricole – puis le BTSA, Brevet de Technicien Super Agricole, en aménagements paysagers. Je suis ensuite passé dans un appartement avec un petit terrain, et j’ai commencé à expérimenter le jardinage. De fil en aiguille, j’ai commencé à comprendre le système de la permaculture, qui m’a beaucoup plu et qui m’a donné envie de changer de vie et de lieu de vie, ce qui m’a amené ici, en Charente-Limousine. On est arrivés sur ce terrain, tout d’abord parce qu’il y avait de l’espace – un hectare

Romain témoigne de sa façon de faire de la permaculture en famille, avec et pour les enfants sur son terrain d’un hectare en Charente Limousine qu’il a notamment aménagé avec un système de baissières et de haies biodiversifiées.
Vue aérienne du jardin en permaculture de Romain et sa famille aménagé avec un systèmes de baissières, retenues d’eau et haies biodiversifiées.

La phase d’observation, s’est faite au niveau des pluies : je sortais avec un imperméable, je regardais où s’écoulait l’eau. Comme j’ai la chance avec mon métier de pouvoir aller dans de nombreux jardins, je regardais ce qui fonctionnait bien en matière de plantes dans les jardins alentour. 

Un jardin potager luxuriant en zone 1 avec plusieurs expérimentations

La zone 1 est la zone du potager. Nous avons des structures en bois de récupération (un bois exotique). On surélève beaucoup ici puisqu’on est sur un sol argileux. En effet, il y a une tuilerie non loin d’ici. 

On a une haie méditerranéenne. L’objectif, c’est d’avoir des végétaux utiles et résistants à la sécheresse. 

On a eu de beaux résultats : par exemple, ce Goumi (elaeagnus multiflora) a été planté il y a trois ans et je vois qu’il va donner des fruits. Nous avons aussi ici un mélange de cassis, de fraises, d’aromatiques et de framboises. Ici, cette année, on laisse un petit peu enherbé, parce qu’on ne sait pas si on va avoir de la sécheresse ou pas. Donc on ne tond pas trop pour conserver l’humidité

Ce sont des zones qui demandent très peu de travail : les plantations sont surtout densifiées en hiver, par exemple on a des oignons : on les a plantés en mars et je ne m’en occupe quasiment plus.

Nous plantons beaucoup de légumes vivaces. Notamment, on a cette arroche qui se ressème partout, on peut voir leurs grandes tiges qui sont en train de monter en graines. C’est très intéressant comme épinard.

Romain témoigne de sa façon de faire de la permaculture en famille, avec et pour les enfants sur son terrain d’un hectare en Charente Limousine qu’il a notamment aménagé avec un système de baissières et de haies biodiversifiées.
Expérimentation au jardin potager en permaculture de Romain : utilisation d’ardoises pour accumuler de la chaleur autour des légumes potagers craignant le froid.

Ici nous faisons une petite expérience sur un ados. On a du mal, comme les nuits sont fraîches – on est quand même dans le piémont du Massif Central. 

On essaye de mettre des ardoises sur cet ados pour conserver la chaleur et la restituer aux aubergines, aux piments… Un ados, c’est une petite butte qui est tournée – en fonction de l’hémisphère dans lequel on se situe, ici l’hémisphère Nord bien sûr – vers l’exposition la plus courante du soleil, chez nous vers le sud, pour emmagasiner la chaleur et permettre de faire en quelques sortes un piège à chaleur.

Ici, on est là dans la partie poulailler, si bien que dès que j’ai des petits fruits un peu périmés, comme par exemple les tomates spontanées qui se trouvent là, je les donne aux poules. Je leur donne aussi les vers que je trouve quand je jardine. 

Les roses trémières qui se trouvent là sont venues spontanément dans le paillage. Il y en a à différents endroits dans le jardin. Je mets toujours des oignons en bordure. Ici, on est un peu envahis par les bourraches. Ce sont mes “mauvaises herbes”, mais ce sont des mauvaises herbes intéressantes !

L’importance des ressources en permaculture

Nous avons une scierie à 35 kilomètres d’ici. Ils ont beaucoup de bois qu’ils n’utilisent pas. J’ai récupéré un gros stock, et on l’a utilisé pour fabriquer ces toilettes sèches, fabriquer ces jardinières, et une autre cabane derrière et je m’en suis servi aussi en bois de coffrage… 

C’est une source gratuite de bois très intéressante. Dans la région, on a de nombreuses ressources, par exemple du vieux foin pour faire le paillage : encore meilleur quand les agriculteurs le jettent parce qu’il est pourri, parce qu’il y a des champignons dedans et c’est merveilleux parce que ça nous fait nos mycorhizes pour le sol. 

On a aussi des ressources en savoir-faire : par exemple, j’ai mon fils qui est en train de faucher, et c’est l’ancien paysan du coin qui nous a montré la faux, son maniement, l’affûtage… 

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Le fils de Romain est en train de faucher une zone, geste technique qu’il a appris grâce à un voisin agriculteur qui lui a transmis ce savoir-faire.

Travailler avec le sol et les microclimats pour diversifier les plantations possibles

Le bois qu’on voyait tout à l’heure va nous servir de piège à chaleur, en récupérant la chaleur du soleil, ce qui devrait nous permettre de planter des choses plus sensibles ici.

Ici, ce sont les excavations des fouilles des fondations du garage. J’ai respecté les couches, il y a de l’agile au fond, il y a de la terre plus végétale au-dessus, et encore au-dessus, il y a des apports de toilettes sèches et des engrais verts. On a mis du foin, et il y a eu du BRF aussi. Le retour sur expérience, c’est que la terre, qui était très lourde au départ, commence à se travailler et à devenir grumeleuse au niveau de la texture. Avec l’argile, et le complexe argileux humide qui se forme, elle commence à mieux retenir l’eau aussi, ce qui est intéressant parce qu’on va devenir séchant du coup (puisque tout ce qui est butte c’est séchant). L’idée, c’est de faire quelque chose de très dense pour ne pas avoir un jardin trop séchant. 

J’ai des charmilles, qui vont servir de fond, si jamais le voisin enlève le bois ; on a du laurier, du laurier palme (qui n’est pas très beau mais qui a l’avantage d’être persistant et de freiner le vent). On a aussi un laurier du Portugal, persistant aussi, qui va couper le vent… Donc au fond, on met déjà des persistants, et devant, on pourra se permettre de mettre des choses plus méditerranéennes, plus exotiques. 

Romain témoigne de sa façon de faire de la permaculture en famille, avec et pour les enfants sur son terrain d’un hectare en Charente Limousine qu’il a notamment aménagé avec un système de baissières et de haies biodiversifiées.
Romain a créé des microclimats permettant des plantations de végétaux exotiques comme ici un poivrier de Sichuan.

Ici on a un poivrier du Sichuan, assez sensible aussi, des féviers d’Amérique (gleditsia triacanthos) et au fond on a les buis. On ne sait pas encore ce qui va monter le mieux. On a des houx – ça monte déjà plus – toujours des lauriers du Portugal récupérés au nord… C’est une zone qu’on cherche vraiment à protéger.

Aménager le lieu en permaculture en famille, pour et avec les enfants !

Ça c’est la cabane que j’ai construite pour les enfants. Ce genre d’expérience, d’aventure, est complète. Ça ne va pas seul : c’est une éthique de vie : les avancées ne se font pas toujours où l’on veut qu’elle se fassent. Au niveau éducation, pour les enfants, on s’est un peu séparés du média télévisuel, il y a 8 mois. Ça a permis aux enfants de se rapprocher du jardin et de s’intéresser à ce qu’on faisait ici

Romain témoigne de sa façon de faire de la permaculture en famille, avec et pour les enfants sur son terrain d’un hectare en Charente Limousine qu’il a notamment aménagé avec un système de baissières et de haies biodiversifiées.
La fille de Romain, Marilou, en train de couper des fanes de carottes récoltées sur son petit potager qu’elle gère en permaculture « comme une grande » !

Aussi, ils me voient, il y a l’exemplarité, mais le fait de les détacher un peu par nos choix de tout ce qui nous semblait un peu toxique à l’intérieur fait qu’ils sortent plus, ils font leurs expériences, avec l’argile, avec la poterie… Mon fils a fabriqué des moules pour faire des briques de terre crue… Il y a eu pas mal de choses comme ça qui ont été faites spontanément et qui sont liées, je pense, à cette démarche globale.

Le petit jardin en permaculture de Marilou, 8 ans

Romain témoigne de sa façon de faire de la permaculture en famille, avec et pour les enfants sur son terrain d’un hectare en Charente Limousine qu’il a notamment aménagé avec un système de baissières et de haies biodiversifiées.
Pour faire de la permaculture en famille et pour ses enfants, Romain a confié un espace de jardin potager à Marilou, sa fille de 8 ans, qui y découvre le fonctionnement de la nature et de la vie du sol !

Marilou : Je m’appelle Marilou, j’ai 8 ans et je vais passer en CE2. Mes talents, c’est les oiseaux, le massage et le jardin, car j’ai un petit jardin. Ici il y a des radis, après il y a des oignons, il y a de la mélisse…

Interviewer : Qu’est-ce que tu aimerais bien apprendre qui concerne le jardin à l’école ?

Marilou : Les petites bêtes dans le sol, parce que sans elles on ne peut pas planter.

Interviewer : Si toi tu étais l’une des petites bêtes qu’il y a dans le jardin, tu serais laquelle ?

Marilou : Un vers de terre. Parce qu’il retourne bien la terre.

Le zoning du design de permaculture de Romain et sa famille

Romain témoigne de sa façon de faire de la permaculture en famille, avec et pour les enfants sur son terrain d’un hectare en Charente Limousine qu’il a notamment aménagé avec un système de baissières et de haies biodiversifiées.
Extrait du design en permaculture réalisé par Romain sur son « jardin du Curé », véritable lieu d’expérimentations.

Ici, c’est la zone 2. C’est une zone beaucoup plus riche que le fond du jardin. En effet, la vieille dame qui vivait dans la petite maison qu’on habite aujourd’hui, faisait son potager par ici, donc il y a de l’humus. Du coup, les végétaux ici poussent plus que dans l’autre partie. On y a mis un verger qui se situe en amont de la mare. Plus tard, on envisage d’avoir des canards.

La zone 3, ça serait cette zone qui est la suite du verger qui est derrière nous, et après, la zone 4, ça serait cette grande haie, que j’ai plantée en 2015, pour couper des vents d’ouest. En fait, c’est une haie qui est subventionnée. Elle a été plantée avec l’association Prom’Haies Nouvelle Aquitaine, qui s’occupe de la plantation des haies. C’est la promotion de l’arbre hors forêt. Et donc, à chaque fois qu’on a une bande comme ça non plantée, ils proposent une subvention – il faut au moins 100 mètres. 

Et cette zone au fond, ce serait la zone 5, parce que c’est un peu sauvage – il y a une lisière là-bas un peu sauvage.

Les facteurs limitants sur ce lieu en permaculture

Les facteurs limitants sur ce terrain… Ce serait un peu la sécheresse, je ne sais pas si ça peut entrer en ligne de compte, mais l’été on a des sécheresses depuis 3 ans. 

On a aussi le sol lourd : les fruitiers n’aiment pas du tout le sol compact, argileux. 

Le vent est également un facteur limitant : on est dans un couloir assez venteux. 

Après, on a quand même de bonnes conditions générales : de la douceur l’hiver… On a aussi des nuits fraîches, et ça c’est un facteur limitant. Par exemple, je n’arrive pas à avoir d’aubergines à cause de ça. 

L’augmentation visible de la biodiversité des insectes 

J’essaye aussi de faire des essais pour voir la concurrence entre la consoude et l’ortie, voir qui est-ce qui peut prendre le dessus, parce que j’aimerais bien petit à petit implanter des poches de consoude autour des arbres, pour récolter déjà ce sera plus pratique. On peut voir à quel point la consoude accueille les pollinisateurs. Ce serait plutôt plus le bourdon que l’abeille, mais il faut savoir, quand même, que sur un cycle comme ça, l’abeille devient minoritaire en fait. Il y a tellement de diversité que l’abeille devient un insecte parmi tant d’autres.

On a vu la diversité des insectes s’accroître d’années en années. Par exemple, pour la petite histoire, j’ai de la sauge sclarée. A peine en fleurs, j’ai vu une espèce de grosse abeille noire que je ne connaissais pas ! On m’a dit c’est de l’abeille charpentière, et je ne l’avais jamais vue ! 

Romain témoigne de sa façon de faire de la permaculture en famille, avec et pour les enfants sur son terrain d’un hectare en Charente Limousine qu’il a notamment aménagé avec un système de baissières et de haies biodiversifiées.
La biodiversité s’accroit chaque année sur le jardin en permaculture de Romain avec de nouvelles espèces comme cette grosse abeille charpentière.

On a les mantes religieuses qui ont décuplé, on a … tout un tas de choses ! On a des salamandres, elles se mettent dans les parpaings… On a des lézards verts dans les baissières. On n’a pas encore de hérissons, on les attend avec impatience !

Ici, les gens qui s’occupent des routes taillent à hauteur de piquet. Donc là, nous, l’intérêt c’était quand même de l’épaissir un peu, déjà pour que les gens nous voient moins de la route. Et comme on est un peu feignants, on laisse pousser les ronces ! Donc on nous voit moins. L’idée aussi c’est d’épaissir en contre-plantant – alors ce n’est pas toujours évident, parce que ces racines se concurrencent. 

La permaculture, une philosophie de vie qui donne du sens, change notre regard et notre rapport aux autres !

Plus on aménage le terrain, et plus on se crée aussi de dépendances et d’entretien. Donc je dirais que ce n’est pas tellement au début, les problèmes, c’est plutôt par la suite. 

Romain témoigne de sa façon de faire de la permaculture en famille, avec et pour les enfants sur son terrain d’un hectare en Charente Limousine qu’il a notamment aménagé avec un système de baissières et de haies biodiversifiées.
Romain apprends à partager son temps entre son jardin en permaculture expérimental et son activité en croissance de jardinier paysagiste.

Comme mon activité professionnelle au départ avait beaucoup de mal à démarrer, j’ai eu plus de temps. Maintenant que ça va bien au niveau de mon travail, il faut que je fasse des choix… C’est à dire faire le choix de travailler moins mais abandonner des rentrées d’argent !

Le fait d’être dans une passion, et d’être dans le ikigaï*, et d’être dans quelque chose qui vous enrichit, ça vous aide aussi dans votre vie de tous les jours. 

Le jardin aide à la patience, il aide à accepter beaucoup de choses. Ça nous aide à l’humilité. Le fait d’être en permaculture, c’était encore quelque chose de nouveau, surtout pour moi qui étais un jardinier paysagiste, ça m’a fait essayer des choses nouvelles, avec une dynamique nouvelle, avec des enseignements nouveaux et des principes nouveaux. Ça m’a fait me remettre en question sur de nombreuses choses. Effectivement, dans ma vie, ça a changé des choses ! Et lors de nos chantiers participatifs, on est obligés de ne pas être trop pressés, de ne pas être impatients, de soigner sa communication. Donc c’est soi-même qu’on change, obligatoirement.

J’essaye d’orienter les gens pour ne pas qu’ils fassent les mêmes erreurs que moi. C’est à dire, que j’ai tendance à voir grand, à planter un peu à tort et à travers. Parce que j’adore planter. 

Mais je pense qu’il faut commencer petit, en incluant la dimension humaine dès le départ. Chose que je n’ai pas faite. J’étais un peu tout seul, j’ai un peu sensibilisé ma famille, mais il vaut mieux être à plusieurs dès le départ. Je vois que ceux qui commencent à plusieurs vont plus loin ! C’est le fameux dicton : ceux qui sont à plusieurs vont plus loin, même si quand on est tout seul, on va plus vite ! 

Je serai chaque jour un peu plus convaincu que de toutes façons, nos systèmes ne peuvent perdurer qu’en prenant soin de la nature. En partant du principe que nous nous inscrivons dans la nature : même si on le veut, on ne peut pas de façon durable domestiquer la nature, puisqu’on crée des problèmes… En fait, on trouve les solutions en s’adaptant à la nature. Et c’est d’essayer de réfléchir à notre place sur la Terre, et à notre fonction, qui va faire qu’on va y arriver !

Romain témoigne de sa façon de faire de la permaculture en famille, avec et pour les enfants sur son terrain d’un hectare en Charente Limousine qu’il a notamment aménagé avec un système de baissières et de haies biodiversifiées.
Romain et sa fille Marilou se promenant tout sourire dans les allées de leur jardin en permaculture familial.

Un grand merci à Romain et sa famille pour ce témoignage inspirant dont nous espérons qu’il donnera envie à d’autres de se mettre à la permaculture en famille 😉 !

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Permaculture Design

Cet article a été rédigé par l’équipe de notre Bureau d’étude Permaculture Design.

4 Commentaires

  1. Treyo

    J’ai lu tout l’article, car le thème des baissières m’intéresse.
    Malheureusement, si le mot revient 7 sept fois (notamment dans les titres), aucune explication de son système dans le corps de l’article. Y’a pas un problème ?

    Répondre
    • Magalie Toulzac

      Bonjour et merci de votre commentaire sur cet article. En effet, il n’aborde pas en profondeur le système de la baissière car il s’agit avant tout d’un article témoignage avec retours d’expériences divers d’un de nos stagiaires et non d’un article à visée pédagogique. Pour plus d’explication sur les baissières, je vous invite à lire plutôt un de nos premiers articles sur les terrassements en permaculture, qui explique, entre autres systèmes, le fonctionnement des baissières, à découvrir ici : /terrassement-en-permaculture/ Bonne lecture et excellente continuation de votre projet. Bien cordialement, Magalie pour PermacultureDesign.

      Répondre
  2. Anonyme

    J’aime ,toutes les infos pour améliorer le potager & les partager
    Bien à vous

    Répondre
  3. Anonyme

    très instructif pour les débutants

    Répondre

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